Le centre de santé de Chantenay-Saint-Imbert
Le 18 juin 2024 a ouvert dans la commune de Chantenay-Saint-Imbert, dans la Nièvre (58), en région Bourgogne-Franche-Comté, le 4e centre de santé Médecins Solidaires. Nous nous sommes installés dans l’ancien cabinet médical départemental, laissé vacant par le dernier médecin généraliste, au centre du village.
Pourquoi Chantenay-Saint-Imbert ?
Le village de Chantenay-Saint-Imbert
Le centre de santé
Le cabinet du médecin
Suite à la médiatisation des trois premiers centres médicaux dans la Creuse et le Cher, la commune de Chantenay-Saint-Imbert (Nièvre) et son conseil municipal nous ont contactés, préoccupés par la situation critique qu’ils vivaient : en 2018, le Dr Duperrier, présent depuis 35 ans, part à la retraite, et depuis, impossible de trouver un remplaçant qui reste plus de 6 mois.
Face à cette urgence croissante et avec le soutien de cette commune dynamique et accueillante, Médecins Solidaires a pris la décision d’installer sa quatrième structure à Chantenay-Saint-Imbert pour répondre à ce besoin vital de soins médicaux et à la détresse de ses habitants. C’est le premier centre en région Bourgogne-Franche-Comté.
Le centre de santé Médecins Solidaires s’installe alors dans les locaux de l’ancien cabinet médical, laissés vacants par le dernier médecin généraliste, au centre du village.
L’équipe de Chantenay-Saint-Imbert
L’équipe Médecins Solidaires de Chantenay-Saint-Imbert est constituée d’un médecin du collectif et de Patricia et Isabelle, les deux coordinatrices – assistantes médicales du centre.
L’impact du centre
Ils témoignent
L’accès au soin dans ma commune était l’objectif numéro 1 de mon mandat. Après 12 en tant que Maire de Chantenay, je peux dire sans hésiter que l’implantation de Médecins Solidaires ici est le plus grand bonheur de mes deux mandats.
C’est vraiment une bonne chose que ce centre de santé ouvre ici. Je leur fais confiance, on sait que le modèle fonctionne, on a hâte de retrouver un médecin.
Ma semaine Médecins Solidaires m’a fait un bien fou ! J’ai retrouvé la joie intérieure qui m’avait porté à choisir la médecine générale !